[ Deniat Mishima ] Mon histoire

Deniat Mishima, 50ème de La Lignée Mishima, dit l'homme aux milles poisons, ou encore le sans coeur.
Il est né le 5 Fraouctor de l'an 600. Disciple fervent de Sram, de capes sombres habillé, et sans peu de peau étoffé....
Première partie - Prologue .

Village de Gisgoul - An 611.

Quelques rayons argentés perçaient les nuages grisâtres. Ça y est...L'aurore allait enfin se lever....

Il y avait une petite chaumière, autour de quelques arbres desséchés ou nichaient quelques corbacs...Cette maison avait pour tout gardien, un vieux croc gland, on le surnommait Roc-Clair. Il n'y avait plus d'autres habitants que lui et moi, depuis la destruction de Gisgoul...
Au alentours, une terre sèche, et craquelée, des vestiges calcinés d'un ancien village, et a quelques endroits, une brume grisâtre apparaissait au passage du soleil par les nuages... Quelques cadavres, encore dépouillés par de jeunes bworks...
Il y avait aussi une grande tour, dont le sommet se perdait dans les nuages...


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Village de Gisgoul - 4 Fraouctor 616.

Je songeais tristement a partir de ce village, a rejoindre les grandes cités...Mais je ne savais guère ou elles se trouvaient...
Alors, je restais dans cette vieille cabane...Mon seul chez moi...
Le 4 Fraouctor 616, la veille d'une initiation normale... J'avais depuis longtemps choisit mon dieu : Sram...
Sans doute les cadavres dehors m'avaient-il forcé la main..
J'allais passer ce jour, seul, comme tous les autres jours précédents, le silence et Roc-Clair, mes seuls amis...
En sortant puiser de l'eau, le vent se leva, et une aura cendrée se fit sentir...
C'est alors que là, une demie-douzaine de soldats Brakmarien apparurent, armés du casque aux sandales !
Je commençais a m'esquiver doucement, jusqu'à ce que j'entende hurler :" Là ! Poursuivez le !"
Je me mets alors à courir, sans même regarder vers ou je me rends...
Je m'arrête, pour reprendre mon souffle, je regarde derrière moi les soldats a mes trousses, sans même les voir...Je me retourne, et voit, avec stupéfaction l'imposante Tour de Gisgoul...
Je n'y avais jamais pénétré ... Je ne savais pas quoi faire...Dois-je entrer, ou m'en abstenir...


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Je me trouvais alors, pour la première fois, derrière la grande porte de la tour de Gisgoul..L'endroit était mal éclairait, et sur le sol, gisait quelques flaques liquides, et une odeur nauséabonde...Là bas, au fond, un lueur....J'avançais a petits pas sur les dalles de pierre...
Je décelais quelques araknes, qui avaient élu domicile dans les sombres recoins...
Soudainement, je glisse, et dévale maladroitement quelques marches...Aïe ! A peine je relève les yeux, j'aperçois une immense statue baignée de sang, - comme le reste de la salle ....Dessous, un hôtel de sacrifice, laissant couler un large ruisseau sanguinolent...
Je contourne alors la pierre d'horreur, apercevant avec stupéfaction, le corps inerte, d'une jeune femme.

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"Tu sais...tu as eu de la chance de t'en tirer...."
"..."
*long silence*
"Ou...suis-je ...?"La jeune femme de la tour maléfique, je l'avais sauvée de son triste sort...Elle avait eu beaucoup de chance de s'en tirer..."Tu es a la maison, tiens, bois ça !"Je le regardais, s'en remettre doucement....Elle m'avait l'air des plus effrayée, ses yeux bleus la trahissaient, bien qu'il eusse dit le contraire...
Les jours passèrent, minutes après minutes, secondes après secondes, comme si Xelor eut enchanté le temps, ses quelques jours me paressèrent quelques instants a peine...
La jeune femme se nommait Jeria. Une jeune sram aux cheveux blond, et aux yeux bleus. Elle couvrait d'un bandage l'horrible cicatrice sur tout son long...
Ah...je crois bien..Oui, je crois bien que j'étais amoureux...

Ainsi, le temps a passé, et la belle est restée à mes côtés...
J'avais alors 18 ans, le jour, où, dans le silence parfait, mon ami, Roc-Clair s'en alla, bannit de la main d'un voyageur...

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Ce dernier enfonça ma porte, et d'une voix glaciale prononça ses paroles :[color=blue]" Deniat...Enfin..."[:color]
Sur le moment, je ne savais comment réagir ... Ma perplexité ne le laissa pas de marbre, et se mit a sortir de ses longues capes rouges, deux vieux parchemin, et un grimoire, qu'il posa d'un air désinvolte sur la table en ricanant....
Soudain, il me lance une de ses dagues dans l'abdomen avec une force incroyable...Je...Je m'écroule.....Ma vue se trouble, je m'évanouis....

Plus tard, j'apprendrais de Jeria, qu'il s'agissait de mon père, le tristement célèbre Heiachy Mishima...


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Je me réveillais, allongé sur mon petit lit, un bandage par dessus le cotes.
Jeria n'était pas là. Je pensais qu'elle était allé chercher du bois pour ranimer le brasier dans la cheminée. Tant bien que mal, je décidais de me lever.
Titubant, m'aidant des murs, je m'avançait jusqu'à la petite table, ou étaient posés les parchemins de mon paternel. A peine arrivé a coté de la table - et surtout de la chaise -, je m'affale alors dessus en soupirant...
Une fois la douleur passée, je décide alors d'observer les documents que le sram m'avait laissés...
Plongé dans une lecture assidue, c'est alors que ma douce amie, vint me câliner tendrement, me prenant les mains dans les siennes.

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L'odeur des vieux papiers que j'avais lu pendant je ne sais combien de temps, m'était monté a la tête, me faisant éternuer a la moindre brise !
Cependant, ils m'avaient appris que si je cherchais Heiachy, il serait surement en Astrub...Il m'appris aussi que j'avais deux frères cadets, et une sœur, elle aussi plus jeune.
Je décidais donc de partir vers astrub, pour connaitre ma famille. Cela enchantais Jeria, qui voulais voir le monde.
En partant, un terrible cris se fit entendre.
Quelques kamamètres plus loin, un bruit sourd et lointain nous faisait comprendre qu'il ne valait mieux pas retourner en arrière.

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Hum....Nous étions en Cania, parait-il.
C'était la première fois que je sortais des Landes de Sidimotes. Il y faisait beaucoup plus clair, et l'air y étais plus pur.
Une douce euphorie nous gagna alors, Jeria et moi même, courant et batifolant au travers des vastes plaines ensoleillées.
Au loin, on voyait les nuages gris de Sidimote.. Notre voyage se poursuivait en Kania, tranquillement.
C'est alors que trois personnes, habillées de guenilles, et autres frusques, vinrent nous stopper...

" Eh...Vous deux...! Posez tous vos objets de valeur a terre et dégagez..."

Il s'agissait de trois bandits. Il y avait un sacrieur, un iop, et un ecaflip. Ils ne manquaient pas d'assurance ! Ainsi, nous allions nous exécuter, lorsque, d'une haute montagne, ne dévale un immense rocher. Les droit bandit, tentant de l'esquiver, tombèrent plusieurs de leurs affaires au sol. Le rocher tomba net, et nous mit a l'abri...
Une fois tout danger écarté, nous allions ramasser les quelques mystérieux objets...
Il y avait quelques épées, des frusques, un diamant, et un drôle d'œuf verdâtre...

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Nous arrivions a Astrub, sans trop s'encombre finalement.
Une fois arrivés dans la cité, sans trop savoir ou allé, la taverne serait notre premier point a trouver.
C'est là, qu'un disciple de pandawa, un peu louche, nous interpela car il avait un problème avec des œufs....Je n'avais pas très bien saisit ce qu'il disait, mais , a sa voix, pensais-je qu'il revenait de la taverne....Je lui demandais donc, de nous y guider, et, en guise de récompense, nous lui donnerions l'œuf des trois bandits, que le pauvre homme puisse manger !

J'appris bien plus tard, que nous lui avions donner un Dofus, vous savez, les œufs de dragon...

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La taverne était gagnée par un vacarme ahurissant. Il y avait des hommes louches, et des hommes moins louche. Le tavernier était un grand homme, assez fort, et il faisait, assez peur !
Jeria décidait de m'attendre dans une chambre a l'étage, pendant que moi, je demandais a notre hôte, s'il connaissait Heiachy Mishima.
A ces mots, le tavernier me regarda surpris, je répétait donc.
Soudain, il se penche a mon épaule, et me dit dans le creux de l'oreille :[color=blue]"Etranger....saches que certaines choses ne se disent pas..."[:color]

Ainsi, je ne pourrais pas retrouver Heiachy en demandant aux gens...Il ne me restait plus que deux choses a faire. Remonter en parler avec jeria, ou bien chercher quelques minutes de moi même....
Je décidais de partir chercher quelques minutes. C'est là qu'un gamin, courant comme un wabit, vint a me bousculer, et a partir avec ma bourse !
Ni une, ni deux je me relève et le poursuit ! Là, il entre dans une grotte, surement le réseau des égouts de la cité....
Je le vois s'enfoncer dans la grotte....Sans même réfléchir, je le suis !

Il fait de plus en plus noir, et des rats malades, voir pour certains complètement crevés, commencent a apparaitre sur le sol. Une douce lumière commence a émaner des murs, sans doute une mousse fluorescente.
Là, au fond de la grotte, j'aperçois une silhouette. Ma chance de récupérer ma bourse ! Je me précipite dessus. L'ombre m'esquive sans mal, et enlève une capuche...

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Il s'agissait là d'Heiachy Mishima. J'étais a sa merci, au sol, il aurait pu m'abattre si il le désirait.
Je dis alors hésitant :[color=olive] " Père...Pourquoi ?".[:color]
Ce dernier me regarda quelques secondes, avant de répliquer.
"Tu es un Mishima, Deniat...Je vais me rendre en Amakna pour la réunion...Tout comme tes deux frères et ta sœur...Mais tu dois déjà le savoir ?"

En effet, je le savais...

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Celui qui était mon père, m'avait rendu ma bourse a moitié trouée, et laissant fuir les kamas. J'essayais, tant bien que mal, de la fermer. Ressortant a la lumière du jour, je décidais d'aller voir Jeria, dans la chambre de la taverne.

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Jeria était là...hum...Jeria était là, a m'attendre. regardant par la fenêtre, le temps passer. Doucement je me faufile derrière elle, la serrant fort dans mes bras.
Ma bouche, a coté de son oreille, lui murmurait doucement quelques mots doux.
Doucement, je lui prends sa petite main, et la porte tout haut contre mon cœur.
Un long silence suivit.... Un baiser. Je l'aimais.

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La nuit, il y avait eu de l'orage. Nous n'avons pas pu très bien dormir. Dommage...
Le lendemain, en route vers la banque pour y ouvrir un nouveau compte.
Le caissier, un prénommé Essiac, me tendait une plaquette, ou je devais taper une code...
Je ne comprenais pas trop l'utilité de ce système, mais je m'y prêtais avec attention. Tant bien que mal, je réussissais a le taper.
J'y déposais quelques Kamas, et le diamant. En repartant, le caissier me tendit la main.
Sans trop réfléchir, je lui tendis la mienne.

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Le sol était d'un rouge boueux, et visqueux. Après tout, il avait plu toute la nuit.
Nous étions en route vers Amakna, lorsque, un jeune marchant, ne nous proposa de monter sur son chariot. Devait-il passer au cimetièrre quelques secondes.

Là bas, j'allais voir quelques tombes.
Ma mâchoire était détraquée, je m'étais pris la rambarde de l'escalier, la veille - ne me demandez pas comment, je ne le sais plus...
Dans une toux erronée, je crachais aux cotés des tombes une flasque sanguine...

Ah ! Le marchant m'appelait déjà pour remonter...


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Nous étions en route vers Amakna. Le ciel était clair, et ensoleillé. Quelques pious, nichés dans les arbres, braillant dans le vent, donnaient une douce mélodie. Au loin, on pouvait voir les grandes montagnes grises d'Amakna, dont les cimes semblaient éthérées.
Il y avait un petit ruisseau, ou nous nous sommes arrêtés pour nous rafraichir.
Finalement, le soir, nous étions arrivés. Dans la chambre de la petite auberge, on voyait très bien, le ciel nappé d'une brume rosée.
Jeria était a la fenêtre, moi, j'arrivais derrière elle, la prenant tendrement entre mes bras

Je me réveillais en sueur, après un horrible cauchemar. La réunion organisée par mon père, me tracassait....
Jeria était là, endormie, innocente. Elle est belle, me dis-je.
Je descends doucement les escalier, allant me chercher une choppe d'eau. J'ouvre la porte de l'édifice, et décide de sortir quelques instants, prendre l'air. Sous le ciel étoilé, je pense soudainement a Roc-clair. Mon défunt compagnon et ami....
"Nous ne sommes plus dans le même monde, mais nous sommes sous le même ciel"
Soudainement, éclairé par le reflet blanchâtre de l'astre, dans quelques feuillages non loin de là, un immense colosse, s'avance vers moi...
Il avait une immense tignasse hérissée sur la tête, les yeux d'un blanc livide, et une musculature impressionnante...

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"Je suis Tempowal...." me dit-il d'un ton amical.
Ne me laissant pas même répliquer, il ajouta, que la réunion organisée par Heiachy était une embuscade pour me livrer a une créature trop peu fréquentable..
Sur ses mots, il s'en alla...

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Le lendemain matin, je décidais de préparer a ma douce moitié, de quoi bien commencer la journée. Je lui apportais donc, bien que maladroitement, sur un plateau quelques denrées.

Plus tard, nous décidions, qu'elle, irait visiter Amakna, pendant que moi, j'irais voir, a quoi Heiachy voulait se prêter a cette réunion.


Le lieu dit, était sombre, ressemblait a une maison, mais était cependant placé dans une grotte...
Au fond du domaine, je décelais une silhouette. cette dernière s'avança, il s'agissait d'Heiachy .
"Malgré les avertissements de ton frère, tu es donc venu..." rétorqua t-il...

Il s'avança, d'un pas hésitant....Il disait, que j'étais l'ainé. Qu'après sa mort, je deviendrait le maitre de la lignée...IL blasphémait...
J'allais sortir de ce lieu, lorsque trois personnes entrèrent, et me forcèrent a rebrousser chemin...
Il y avait, le Iop que j'avais vu la veille, un Xelor, et une sacrieuse.

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" Tu dois la tuer....."
Un silence de marbre gagna alors la salle....
"Tu dois la tuer" répéta Heiachy...


C'est alors, que le Xelor, s'enfonçant dans la salle, lança un sortilège, qui ouvrit une porte.
Ils me forcèrent alors a m'y aventurer...
Il y avait un long couleur, orné de trophés.. AU fond du couloir une grand salle...
Il y avait quelques tableaux et trophés accrochés au murs. Mais, ce qui attira mon attention, était un pilonne central, sur lequel, était attachée Jeria, entièrement nue et meurtrie.....
Heiachy, me regarda quelques secondes, avant de me tendre un sabre...
" Tu sais ce qu'il te reste a faire, mon fils..."
Je chercher a comment libérer ma douce et nous enfuir...cependant, mes frères et ma sœur, me barraient la route...

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Sans même reflechir, je prends le sabre, et assène un coup en pleine poitrine ! Je regarde dans les yeux, le corps agonisant, et tranche les chaines du pilonne...
Mes trois cadets, arborent tout trois une arme impressionnante...Je les esquive, et leur donne un coup de pommeau...

Courant, j'entends Heiachy hurlant, à la mort, qu'il reviendrait et aurait ma peau...

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A la sortie du bâtiment, je cherche de vue une endroit on se cacher... J'aperçois un immense rocher, et je décide d'aller derrière...
Je vois alors, les trois complices d'Heiachy, sortirent ...
Ils ont les yeux d'un blanc livide, et on l'air totalement dénaturés...Je vois là sortir mon père, la lame encore enfoncée dans son ossature, coupée en deux pour ne pas le gêner dans ses mouvements...
Il hurle soudainement :
"Je sais que t'es là, traitre ! Regarde ça !"
Kusaa, dit-il, vas y !
Le xelor, se mit alors a lancer un sortilège, de téléportation.
Le corps inanimé de Jeria, apparut a leurs pieds... Heiachy le regarda quelques instants, et ordonna au Iop, dit Tempowal, de s'en débarrasser...
A ce moment là, je ferme les yeux, je ne veux pas voir ce "spectacle"...
Je disparais dans le silence, et je m'en vais alors...

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Je rentre a l'auberge, désemparé, la mort dans l'âme, j'espère revoir Jeria, a la fenêtre, regardant le coucher de soleil...
Je monte doucement les escaliers, je vois la porte entrouverte...Je brandit alors une dague, au cas ou cela soit un visiteur inattendu... Je pousse doucement la porte, et, j'aperçois, a la fenêtre, ma douce femme, contemplant le soleil couchant..
Quelques larmes coulèrent alors sur ma joue...Des larmes de joie.
J'approche alors doucement, et la serre tout contre moi...

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Jeria n'étais pas morte...Elle avait eu, l'ingénieuse idée de se dédoubler, et de remplacer son double a sa place sur le pilonne. Ensuite, cachée dans l'ombre, elle n'a pas eu de mal a s'échapper, lorsque je semais la pagaille...
J'étais heureux. Heureux de la savoir en vie.
Cependant, j'entamais une haine immense pour Heiachy.

J'ouvrais le vieux grimoire, et le feuilletait rapidement....
Un document attira mon attention...




J'étais tétanisé par ce document....
Qu'allais-je faire...Il n'aurait de cesse que de me poursuivre...

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"Il va essayer de te tuer, mon cœur..."
"Je le sais bien...Il faudra l'esquiver....retournons a Brakmar, Deniat !"
Je ne savais pas si Brakmar était une bonne idée...Après tout, il nous avait déjà bien dérangé a Gisgoul...
Je décidais donc, d'aller avec Jeria, visiter l'ile volonté : Incarnam.

Nous devions marcher jusqu'à Astrub. Le voyage nous demanda 4 heures. Ni une, ni deux, sans même attendre notre reste, nous partions a Incarnam.

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L'ile était baignée d'une énergie incroyable, surement pour flotter dans les airs.
L'ile se confondait entre l'architecture, et le roc. Le temple était magnifique de son ampleur, mais aussi de architecture incroyable.
Nous avancions, a travers le temple. A sa sortie, et a notre plus grande surprise, une grande étendue d'herbe, et de nombreux aventurier.

Nous avons visité Incarnam, de A à Z, en passant du Temple, au lac, et même par le cimetièrre !De la milice, on apercevait Astrub. Jeria aimait beaucoup regarder la cité de cet angle. Et, c'était magnifique, surtout lorsque le soleil se couchait. Les nuages d'Incarnam paraissaient s'embraser avant de se dissiper doucement..
Nous pensions, que jamais Heiachy ne penserais a venir nous chercher ici..
Nous avions tord...

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Le lendemain matin, l'ile céleste, toute embrumée, et l'air un peu frais, laisser échapper quelques bruits déchainés.Eut on dit, que le temple aurait été profané...

Un peu plus tard dans la journée, tandis que nous marchions au bord du lac, quatre personnes,arrivèrent. Tout quatre, portaient de longues capes d'un sinistre teint rouge brodées d'or, et d'argent.
Je reste perplexe....Ils n'ont pas pu...Pas aussi rapidement...
C'est alors, que dans un mouvement unit, ils enlevèrent leurs capuches. Ils n'étaient autres qu'Heiachy Mishima, mes deux frère Tempowal, et Kusaa, et ma sœur...

" Croyais tu vraiment nous échapper, mon fils ? " dit alors le manipulateur d'un ton cadavérique...
"..."/color] Tu sais, dit-il, ton attaque m'a bien blessée...J'aurais pu en mourir, si tu avais placé la barre un peu plus haut...
Il claque des doigts ! Soudain, mes deux cadets se jettent sur nous. Nous les esquivons sans peine; Jeria se cache alors dans les ombres, pendant que, sortant mes dagues, je fonce sur Heiachy.
"Where ! "
Ma jeune sœur, s'interposa, bloquant mes lames et me repoussant de l'autre coté. Mes frères en profitèrent pour m'attraper et m'immobiliser...

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[ A suivre ]